DIEU n’avait pas placé ce village à l’OUEST Cameroun par hasard. La place que CE VILLAGE OCCUPE dans l’entrepreneuriat camerounais est stratégique. Dans tous les villages et zones de ce groupement enviable, on ne trouve pas mal des opérateurs économiques qui garantissent la stabilité professionnelle des fils du village.
Pendant que la grande minorité cherche à nuire au développement social de l’ensemble des dignes fils en quête d’emploi, la majorité a trouvé la solution : prôner d’abord la solidarité et la paix a l’exemple des ressortissants de la zone des 32 quartiers Banéghang de Yaoundé qui chaque année fait organise une soirée de prière à laquelle ils associent un pasteur de l’église évangélique et un prêtre de l’église catholique romaine tel que vous constatez sur les photos.
Voici un jeune fils Bansoa nommé SUBLIME, ce fort bon musicien qui passe tout son temps à chanter et à jouer à la guitare.
La première fois que je l’ai découvert, je n’attendais pas grande chose de lui. A force d’aller vers lui, j’ai constaté qu’il n’y a rien en lui qui soit de moins par rapport aux musiciens du hip up.
Cette image vient de la soirée la plus réussie de tout Yaoundé du 11 février 2011 oû j’étais invité d’honneur avec ma famille. Nous aurons le temps de le découvrir. Il lui faut juste un producteur de bonne volonté. Je doute que sa place soit au Cameroun.
Je ne sais bien combien de musiciens regorgent Bansoa à nos jours. Jadis, RIME qui est un fou aujourd’hui, était passé avant DJEUGOUONG Patrice. Après quoi vinrent les très célèbres KING GODEFROY ET GATTAM PELE.
Nous attendons encore des jeunes de ce village les découvertes diverses dans la culture et la science et c’est ce qui se passe. Nous attendons aussi la réaction de DIEU contre les fils du village qui causent des obstacles aux activités des autres par la haine, l’hégémonie et voir les menaces mortelles via sorcellerie et machination.
A l’exemple de la soirée du 24 janvier, voyons deux hommes de DIEU issus de des églises différentes qui prêchent sur une même table.
La chorale qui accompagnait leurs prédictions, n’était que des membres de la famille regroupés à cet effet.
La salle était pleine.
Les offrandes étaient partagées entre les deux hommes de Dieu, y compris la dime.
les hommes, membres de la famille avaient tous répondu présents, ce qui est rare dans des églises.
les pasteurs ayant terminé leurs prédictions et prières pour les baneghangs ont commencé à danser à leur place respective, à leur table
Ça m’était paru vraiment surprenant de voir les deux pasteurs danser au milieu de la foule à la fin de la prière.
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